Ces petits riens #8


– rire insatiablement

– une soupe de nouilles maison, se moquer de soi et retrouver ces beaux yeux noirs un temps disparus

– le refus de la fatalité rouge et du destin entre chien et loup (non sans interrogation)

– des rires tintinnabulant et des nourritures célestes, gustatives et orangées

– s’entourer de balades automnales dorées, de vin épicé et sentir l’absence d’un autre soi-même

– un chauffeur de taxi, ancien marine (prononcé à l’écossaise), philosophant sur la souffrance, le sens de la vie et la vérité/ un sourire

– un publicité bleue ou le retour au rêve qui n’est jamais réalité

– des feux-d’artifices rien qu’à soi

– les mèches rouges et le rire de la plus incroyable des héroïnes

Le Livre de l’intranquillité comme métaphore

– l’épique, le retour et l’impatience, toujours

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