Premières Lignes #25 Un obus dans le coeur, Wajdi Mouawad, Leméac/d’une seule voix Actes Sud Junior


Toujours dans la veine des écrivains québécois, nous retrouvons cette semaine Wajdi Mouawad, québécois d’adoption, né au Liban et actuellement directeur du Théâtre de la Colline à Paris après avoir dirigé le Théâtre de Quat’Sous à Montréal.

Un obus dans le coeur est tiré de son superbe roman Visage Retrouvé et une commande du théâtre de Sartrouville faite à Wajdi Mouawad. En voici les premières lignes dans lesquelles la marque de l’écriture théâtrale est gommée au profit de la voix de Wahab appelé d’urgence au chevet de sa mère.

Un obus dans le coeur, Wajdi Mouawad, Leméac/Actes Sud junior

Les premières lignes d’un livre est un rendez-vous proposé d’après l’idée originelle de ma lecturothèque qui publie sur son billet consacré, la liste des blogs qui y participent dont :
• Lectoplum
• Songes d’une Walkyrie
• Pousse de Gingko
• Camellia Burrows
• Au baz’art des mots
• Eléonore B
• La Marmotte qui lit
• Light & Smell
• Ibidouu
• Page blanche et noire 
• Chronicroqueuse de livres
• Chez Xander
• Les pages qui chuchotent
• Envie de lire
• Critiques d’une lectrice assidue
• A Blue Feather Blog
• Les livres de Rose
• Les livres de George
• La couleur des mots
• Rêveuse Éveillée
• Les lectures de Luna
• Les Histoires d’Amélia
• Félicie lit aussi
• Fifty Shades of Books
• Café littéraire gourmand
• Lectrice assidue en devenir

8 commentaires

  1. Wajdi Mouawad m’a profondément marqué avec Incendie que j’avais vu à Chaillot, surtout cette scène où la mère porte une robe rouge et est arrosée au karcher. La scène est inondée d’une lumière rouge ce qui donne l’impression d’avoir des effluves de sang, bien plus traumatisant que n’importe quel film d’horreur! La preuve pour rien au monde je ne regarderai l’adaptation ciné, ça ne sert à rien j’ai déjà vécu tout ce qu’il y avait à ressentir avec la pièce.

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